Vendredi
le 12 février. Isla Fernandina.
Nous
nous levons à 6h. On prend quelques tasses de café faible en
attendant le déjeuner à 7h00.
Un requin (Black tip) vient montrer son aileron derrière le bateau. On nous affirme qu'ils ne sont pas dangereux. Nous partons en zodiac à 8h et allons faire une promenade en bord de mer à la Pointe Espinoza sur les grandes étendues de lave qui proviennent de l'énorme volcan qui se dresse majestueusement devant nous.
Les iguanes marins abondent. On doit faire attention où l'on met les pieds pour ne pas les écraser. Cette sous-espèce est un peu plus grosse que celle des autres îles. Et ici aussi, les animaux n'ont aucune peur de l'homme. Nous passons près de deux heures à arpenter le bord de mer. Les iguanes, tortues marines, huitriers, buse des Galapagos, cormoran qui ne vole pas et lézards de la lave nous tiennent occupés tout le temps.
Un requin (Black tip) vient montrer son aileron derrière le bateau. On nous affirme qu'ils ne sont pas dangereux. Nous partons en zodiac à 8h et allons faire une promenade en bord de mer à la Pointe Espinoza sur les grandes étendues de lave qui proviennent de l'énorme volcan qui se dresse majestueusement devant nous.
Les iguanes marins abondent. On doit faire attention où l'on met les pieds pour ne pas les écraser. Cette sous-espèce est un peu plus grosse que celle des autres îles. Et ici aussi, les animaux n'ont aucune peur de l'homme. Nous passons près de deux heures à arpenter le bord de mer. Les iguanes, tortues marines, huitriers, buse des Galapagos, cormoran qui ne vole pas et lézards de la lave nous tiennent occupés tout le temps.
Après
une petite collation au bateau à 10h, nous repartons avec des habits
isothermiques pour aller plonger en apnée le long du rivage. La
visibilité est excellente et nous avons la chance d'interagir avec
deux otaries qui viennent nous voir tour à tour à 30 cm de notre
masque. Nous voyons aussi de très près un iguane marin en train de
se nourrir d'algues vertes tout en étant accroché avec ses pattes
au fon de l'eau sur un gros rocher. Nous sortons de l'eau vers 11h20
et allons dîner pendant que le bateau se déplace à nouveau vers
l'île Isabella.
Nous
mouillons l'ancre vers 12h15 dans une magnifique baie entourée de
falaises abruptes. Il s'agit de la Baie Tagus. Les falaises sont
pleines de graffitis : des noms de bateaux qui ont mouillé ici
depuis 150 ans. Nous avons une visite surprise des gardes de parcs. Ils procèdent à l'inspection de tout le bateau pour voir si tout est en règle. Ils sont très sévères nous dit-on mais le bateau passe le test haut-la-main.
Nous débarquons et montons sur une petite montagne qui surplombe la baie Tagus et le lac Darwin où les baleiniers et les autres bateaux venaient s'approvisionner en eau potable. Le lac nous éblouit de sa couleur émeraude. Il fait une chaleur intense et on doit prendre tout notre temps pour monter au sommet de la colline. D'un côté c'est la vue sur la Baie et le lac Darwin. De l'autre, c'est la vue sur le volcan Charles Darwin les champs de lave qui se déploient à ses pieds.
Nous débarquons et montons sur une petite montagne qui surplombe la baie Tagus et le lac Darwin où les baleiniers et les autres bateaux venaient s'approvisionner en eau potable. Le lac nous éblouit de sa couleur émeraude. Il fait une chaleur intense et on doit prendre tout notre temps pour monter au sommet de la colline. D'un côté c'est la vue sur la Baie et le lac Darwin. De l'autre, c'est la vue sur le volcan Charles Darwin les champs de lave qui se déploient à ses pieds.
Nous
revenons au bateau en sueur et vite, tout le monde se jette à l'eau.
Sublime rafraichissement! On nage autour du navire puis on prend
une bonne bière pour bien se désaltérer. On a bu beaucoup d'eau
mais ce n'était pas suffisant avec cette chaleur accablante.
Nous
levons l'ancre et nous dirigeons vers le nord d'Isabella pour la
contourner et redescendre ensuite vers le sud. Vers 17h, nous
passons au travers d'un banc constitué de cent ou deux cents
dauphins. Peut-être plus. Plusieurs sautent hors de l'eau et nous
présente un joli spectacle. Le capitaine nous fait faire une boucle
pour mieux les contempler. En farce, on se dit qu'il ne nous reste
qu'à voir un requin-baleine maintenant pour atteindre le Nirvana.
Nous soupons puis passons quelques temps sur le pont avant d'aller
nous coucher. La mer est de plus en plus agitée et au cours de la
nuit on brasse pas mal dans notre lit. Hélène dors assez bien avec
sa dose de Gravol mais moi je me réveille très souvent à cause des
secousses violentes et du bruit des vagues sur la coque. Nous
arrivons à l'île Santiago vers trois heures du matin et ancrons à
Puerto Egos. Le reste de la nuit se déroule calmement.
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